Le cinéma, la machine à parler d’amour
Hommage à Michel Piccoli
On connaît l’immense comédien, sa grâce, sa voix, son physique, du Mépris à Habemus Papam. On connaît moins sa carrière de réalisateur. Et, de fait, s’il a joué dans plus de 200 films entre les années quarante et 2012 (sans parler de ses rôles au théâtre), Michel Piccoli attend 1997 pour diriger son premier long métrage. C’est pas tout à fait la vie dont j’avais rêvé, son troisième et dernier, produit par Paulo Branco, raconte l’histoire la plus simple du monde : un triangle amoureux. Il en montre les malices, les symétries, les rotations et les cruautés. C’est l’équilibre fragile du désir : un seul être manque, et tout s’écroule.
C'est pas tout à fait la vie dont j'avais rêvé
De Michel Piccoli - 2005 - 75 min - France - 35 mm
Avec Roger Jendly, Michèle Gleizer, Elisabeth Margoni
Une comédie. Le mari, la femme, la maîtresse et la gouvernante. Une fable.
Le singe, le lion et le petit garçon.
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