Le cinéma, la machine à parler d’amour
« Le Rouge et le noir de Stendhal en fournit le motif. Mourir pour sa liberté – ce romanesque qu’aujourd’hui plus personne ne saurait assumer. Je voulais que ce film, filant à toute allure, comme si son récit pouvait tenir en un dessin, aboutisse non pas à une banale catharsis, mais s’émancipe, justement, de ce récit. »
Kijû Yoshida
La Fin d'une douce nuit
De Kijû Yoshida - 1961 - 85 min - Japon - VOSTF - DCP
Avec Masahiko Tsugawa, Michiko Saga, Teruyo Yamagami
Yokkaichi, ville industrielle en plein essor. Employé d’un grand magasin, Jirô Tezuka fait la rencontre de Harumi dans un restoroute. Il décide de la placer dans un bar de la ville, le « Sawa », dont la patronne, Sawako, n’est autre que la fille du directeur du grand magasin où il travaille. Parallèlement, il fait la connaissance de Masae, veuve de l’ancien directeur des fonderies Oka, dont le père est lui aussi un client du « Sawa »…
Achetez votre place en prévente
Passage du Palais de Justice
38000 Grenoble
